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Comprendre et réfuter, une analyse de l'idéologie progressiste

 

Une nouvelle fois, me voilà parti dans un dossier consacré au torpillage en règle de l’idéologie progressiste. Une nouvelle fois je tire sur l’ambulance, une nouvelle fois j’essaye de dire des choses sur ce que je considère comme le boulet de la gauche. Avoir été traité de fasciste, avoir été banni, bloqué, avoir rédigé des dizaines et des dizaines de lignes sur le sujet ne m’aura pas suffit. Alors, histoire de faire les choses bien, je suis de retour dans ce que j’aime faire le mieux, trouver des arguments et développer une analyse critique sur un sujet politique, mais avec le plus de sérieux que j’ai pu regrouper avec moi. C’était d’abord des billets, puis des dossiers. Un dossier global, paru en 2018, montrait mes principaux avis sur la question du progressisme. Ce dossier aurait pu suffire. Avec mon étude sur le militantisme, essentiellement basée sur ce milieu progressiste, j’ai pu montrer à nouveau l’avis que je portais là-dessus.

Pourtant, j’ai souvent ressenti le besoin de faire quelque chose de plus poussé. Quelque chose qui puisse parler à la fois à ceux qui seront d’accord avec moi, mais aussi à ceux qui ne peuvent pas blairer mes idées. (ou plutôt dont je ne peux pas blairer les leurs, vu leur popularité et mon relatif anonymat). L’idée m’était venu au fil des discussions au sujet des genres, le thème qui cristallise les débats et transforme instantanément le sol en une plate-bande d’œufs prêts à être foulés de nos pieds. Il me fallait produire un argumentaire à même d’expliquer ma vision des choses, tout en présentant un aspect assez fouillé pour qu’il soit intellectuellement honnête. Cet argumentaire trouvera d’ailleurs sa place dans la deuxième partie de ce dossier.

 

En guise d’introduction, la première partie revient donc sur les fondamentaux du progressisme, la notion d’oppression. Les débats que j’ai pu avoir récemment m’ont orienté vers cette piste, et je l’ai accepté volontiers, d’autant plus que c’était une nouvelle occasion de marquer mon attachement à la plus fondamentale des libertés, la liberté d’expression.

Pour des raisons évidentes, les deux parties se présentent sous forme de pdf afin de faciliter la lecture

Partie 1: 
P1- OppressionP1- Oppression (161.22 Ko)
Partie 2: 
P2 - question du genreP2 - question du genre (163.89 Ko)

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